Initiée depuis 2017 par la municipalité de Chenôve, la Fête de la République se veut un moment populaire et festif où les valeurs républicaines de Liberté, d’Égalité et de Fraternité sont mises à l’honneur. Chaque année, le 21 septembre, date anniversaire de l’abolition de la royauté et journée internationale de la Paix, Chenôve est mobilisée pour célébrer notre République et lancer la nouvelle saison culturelle !
SAMEDI 21 SEPTEMBRE 2019
16h00 : Jeu citoyen dans la ville
18h00 : Présentation des projets réalisés dans le cadre du programme
valeurs de la République
(Dans le cadre du Contrat de Ville) – Salle des Fêtes 19h00 : Dévoilement de la Marianne
20h30 : Lancement de la saison culturelle
SUELTA TOUR
SAMEDI 21 SEPTEMBRE 20H30
DURÉE : 1H30
CÈDRE
La Yegros « la Reine de la Nu Cumbia » est de retour en Europe pour la sortie de son nouvel album.
Avec un nouvel album de La Yegros, arrive aussi la promesse de concerts dévastateurs, qui sont autant de défis à ceux qui ne dansent jamais. La chanteuse dégrippe les corps les plus rouillés, en irradiant son énergie comme si elle crachait des boules de feu, avec la joie communicative propre aux peuples sud- américains. Son nouvel album accélère la fusion des genres musicaux constitutifs de sa personnalité, chamamé, cumbia, carnavalito mâtinés de folklores andins, passés à la moulinette du dancehall jamaïcain et des productions électroniques, composant un cocktail dont seule La Yegros détient le brevet.
Son troisième album réitère pourtant, avec une ambition accrue, le tour de force déjà opéré avec Viene de Mí (Parlophone, 2013) et Magnetismo (Soundway, 2016).
CHANTS La Yegros • PERCUSSIONS, ÉLECTRONIQUE Gabriel Ostertag •GUITARE, CHŒURS David Martinez • ACCORDÉON, CHŒURS Damien Issertes • INGÉNIEUR DU SON Alexandra Ralha • RÉGISSEUR DE SPECTACLE Fred Loumagne • PRODUCTION Ark Agency
LA PRESSE EN PARLE :
« Tonique et joyeux, d’une efficacité incontestable pour faire danser. » Le Monde
« Si jamais Pedro Almodóvar voulait une nouvelle muse, il n’a pas besoin de chercher plus loin que La Yegros, la reine excentrique de la nu cumbia. » Songlines (UK)
Entrée libre. Placement libre assis, debout. Dans la limite des places disponibles
Si Marianne peut avoir mille visages, elle est ici pensée comme l’allégorie d’une République moderne et sereine. C’est une jeune femme au menton levé que l’on peut imaginer de diverses origines, elle arbore une version contemporaine d’un bonnet phrygien, avec le regard tourné vers l’avenir, en signe d’espoir. Espoir pour son destin, en tant que citoyenne française mais aussi espoir pour ses possibles, en tant que femme dans une société laïque et solidaire; un symbole féministe ancré dans le travail de Don Mateo.
Les silhouettes dessinées sur la longueur de la fresque se veulent représentation de tous les citoyens, comme symbole de la solidarité entre les familles, les jeunes, les plus défavorisés et les personnes dépendantes. Ces silhouettes sont volontairement groupées pour refléter l’idée de la concertation, d’un pouvoir et d’une responsabilité républicaine conjoints.
Un jeu des forces s’organise dans la fresque : Marianne semble inspirée par les habitants, quand ceux-ci sont comme « aspirés » par leur allégorie. Le travail des lignes soutient ici la valeur d’une république universelle, qui est bâtie, se construit, et vit à travers ses citoyens, rassemblés dans leurs différences. 6L E CÈDRE SAISON #6•19/20
Jeune, belle, élégante, fine, optimiste, souriante, confiante, vous avez massivement voté pour la Marianne proposée par le plasticien Don Mateo. Ce projet, fruit d’un concours s’inscrivant dans le cadre des 40 ans de la politique de la ville, mobilisa plus de 2 000 votants. Rendez- vous le 21 septembre 2019 à 19h00 pour le dévoilement de cette œuvre unique !
En 2003, il rejoint les Beaux-Arts de Besançon puis la Facultad de Bellas Artes de Cuenca en Espagne… L’art ne devait plus jamais le quitter désormais ! En 2010, Don Mateo s’installe à Lyon et en fait son nouveau terrain de jeux. Très vite, il revêt les murs des villes de ses fameux portraits : des anonymes qui interpellent par l’émotion et l’énergie qu’ils insufflent. Son leitmotiv, son ambition, ce qui l’anime ? : «Agir comme antidépresseur urbain et questionner la peinture ! » Tel Zorro et son épée, c’est à la pointe de
son scalpel qu’il trace ses lignes pour créer l’émotion, la surprise et ainsi révéler le vide et sculpter la lumière à travers les regards qu’il saisit. Il bouscule les codes de l’urbain pour partager son regard sur le monde et contredire
le mouvement avec ce style unique qui lui est propre. C’est en oscillant entre peinture et sculpture que ces portraits prennent sens. Il révèle la fragilité de notre existence avec subtilité, poésie et un certain brin de malice.